Catégorie > Sciences économiques et fortune

Dans quelle mesure les variations de la demande expliquent-elles les fluctuations économiques ?

Posté par Hubert, mise à jour le 12/03/2022 à 23:05:37

Dans quelle mesure les variations de la demande expliquent-elles les fluctuations économiques ?


Posté par Tollens

La mésure dans laquelle les variations de la démande expliquent la fluctuation économique:
Lorsqu'il ya une forte démande l'offre diminue et les opérateurs économiques augmentent généralement le prix des articles, ce qui entraine un important chiffre d'affaires. De la même manière lorsque la démande diminue, l'offre l'emporte et les opérateurs économiques cherchent à liquider leurs marchandises, surtout pour certains articles, ce qui fait baiser le chiffre d'affaires. D'où la fluctuation économique !

Posté par Raphaëlle

Dans quelle mesure les variations de la demande expliquent-elles les fluctuations économiques?

Les travaux de Kitchin, Jiglar et Kondratieff ont mis en évidence la présence de cycle économique qui mettent en valeurs les fluctuations économiques. Ces dernières sont les mouvements de ralentissements ou d’accélérations de la croissance économique. Comment les expliquer? Il existe une corrélation entre la demande et les fluctuations économiques; les variations de la demande les expliqueraient. Qu’est ce que la demande? La demande exprime la disposition du consommateur à payer un certain prix pour un bien ou un service. Lorsque nous nous intéressons à l’équation de l’équilibre emplois-ressources nous voyons que la demande possède plusieurs composantes: les dépenses de consommation finale des ménages et des administrations publiques, les investissements, les variations de stocks et les exportations. Comment les variations de la demande sont-elles un facteur des fluctuations économiques? S’il elles sont indispensables, sont-elles les seules explications de la conjoncture économique? Comment d’autres facteurs contribuent-t-ils eux aussi aux fluctuations économiques? Dans une première partie, nous allons montrer que les variations de la demande peuvent, effectivement, expliquer les fluctuations économiques. Enfin, nous montrerons qu’elles ne sont pas l’unique facteur expliquant les fluctuations économique et qu’il existe d’autres facteurs qui sont eux aussi une source essentielle des variations économiques.

Tout d’abord, nous allons démontrer comment les variations de la demande sont un facteur explicatif des fluctuations économiques. Pour cela, nous allons montrer l’impact de la demande interne avec notamment la consommation publique et privée, l’investissement et la variation des stock, et l’impact de la demande externe avec les exportations sur la conjoncture économique. Nous isolerons ensuite le rôle particulier joué par l’investissement dans l’explication des fluctuations économiques.
Les variations de la demande expliquent les fluctuations économiques. Il existe en effet une corrélation entre la demande et la conjoncture économique. Pour montrer cela, prenons le document 1 et 2. Rappelons tout d’abord que la croissance économique c’est l’accroissement de la production et donc l’accroissement du Produit Intérieur Brut (PIB) sur une période donnée. Les fluctuations économiques peuvent être modélisées par les variations du PIB. Notons aussi que le PIB en volume est exprimé à prix constants et donc que l’inflation a été corrrigé. Nous observons tout d’abord que les courbes du document 1 qui illustre l’évolution du PIB en volume dans divers pays de l’Union Europénne suivent une tendance similaire aux courbes du document 2 qui représentent l’évolution de la demande intérieure en volume dans les mêmes pays que le document 1. Effectivement, nous remarquons qu’il y a une augmentation globale du PIB et de la demande intérieure entre 2002 et 2008 et qu’il y a ensuite une baisse importante de la demande intérieure et du PIB. Nous semblons donc observer une corrélation entre la demande et le PIB. Ainsi, en 2008 le PIB en volume de l’Irlande était à son plus haut avec une augmentation de 32% par rapport à 2002. Sa demande intérieure quant à elle avait subi une augmentation de 70 % par rapport à 1998. En 2009, en Irlande, nous observons une baisse de 11 points par rapport au PIB de 2008 et en 2010 une baisse de 3 points par rapport au PIB de 2009. Le taux de croissance du PIB irlandais est donc négatif sur plusieurs années avec un taux de croissance de -10,6% si nous comparons le PIB de 2008 à celui de 2010; le pays est donc en récession. Or, si nous nous intéressons à la demande intérieure nous voyons bien qu’elle suit la même tendance que le PIB. Effectivement, en 2009 la demande intérieure subit une baisse de 22 points par rapport à 2009 soit une dimunition de près de 12,9% et en 2009 la demande intérieure subit une baisse de 8 points par rapport à l’année précédente. La demande intérieure tout comme la production réalise une baisse importante. Ainsi on en déduit que lorsque la demande est importante, la production augmente et il y a donc une croissance. Cependant, lorsque la demande diminue, le production diminue elle aussi et nous observons un ralentissement économique qui peut même mener à une récesssion ou une dépression. De plus, les travaux de Kaldor avec le carré magique nous montre que pour une situation économique d’équilibre idéal il faut que la croissance soit forte, l’inflation maitrisée, qu’il y ait du plein emploi et que la commerce extérieur soit équilibré met en valeur l’interdépendance de ces quatre facteurs. Nous voyons bien qu’il existe une corrélationentre les variations de la demande et les fluctuations économiques. Enfin, nous voyons bien que sur une plus petite échelle il existe un lien entre demande et production avec les chocs de demande c’est à dire lorsqu’une des composantes de la demande globale adréssée aux producteurs se modifie. Par exemple, si un été est particulièrement chaud et ensoleillé, la demande pour des crèmes solaires augmente fortement. L’offre doit donc produire plus et augmenter leur prix afin de répondre à la demande plus importante. Avec le principe de l’équilibre de l’offre et la demande, nous voyons qu’une demande supérieure à l’offre crée des tensions inflationnistes et une demande inférieure à l’offre créé des tensions déflationnistes. Ainsi, les variations de la demande expliquent effectivement les fluctuations économiques.
Les investissements, une composante de la demande globale, jouent un rôle particulier dans l’explication des fluctuations économiques. En effet, pour Keynes, l’investissement est important dans la conjoncture économique avec tout d'abord la demande anticipée effective. Cette dernière est a demande anticipée des entreprises pour établir leur plan de production. Elle se fonde sur la demande des biens de consommation et de biens d’équipement. En fonction de cette demande anticipée, les entrepreneurs vont alors investir plus ou moins et produire plus ou moins. Si les entrepreneurs ont des prévisions pessimistes ils vont alors tenter d’anticiper sur le moyen-long terme et donc investir moins. Or, selon Keynes l’investissement stimule l’économie avec le mécanisme de l’effet multiplicateur d'investissement. Effectivement, un investissement constitue une demande adressée aux producteurs de bien équipement notamment. Ainsi, dans le document 3 nous observons que la contribution du facteur capital dans la croissance annuelle moyenne en France de 1994 à 2007 représentait près de 0.9 point de pourcentage et contribue donc pour 40,9 % du PIB. C’est la contribution la plus importante comparé au facteur travail et à la productivité globale des facteurs. Or, le facteur capital représente un investissement dans un bien d’équipement. Avec cet investissement, les producteurs de biens d’équipement augmentent alors leur activité et distribuent des revenus supplémentaires aux salariés ou aux actionnaires. Une partie de ces revenus est consommée et l’autre epargnée. Grâce à la partie consommée les producteurs des biens de consommation augmentent leur production puis distribuent des revenus supplémentaires aux salariés et actionnaires qui pourront par la suite consommée plus. Il y a aura alors une augmentation de la demande et une augmentation de l’offre pour répondre aux besoins des consommateurs. Nous voyons donc l'apparition d’un cercle vertueux. L'investissement initial a ainsi permis l’augmentation de la production supérieure à l’investissement initial. Ainsi une hausse de l’investissement provoquée souvent par posséde un impact positif sur l’économique. Cependant, une insuffisance de la demande anticipée et donc une baisse des investissements peut être la cause des dépressions pour Keynes. Effectivement, puisque les investissements sont déterminés par les perspectives des ventes. Le mécanisme posséde donc un effet cumulatif. Le rôle des investissements pour expliquer les fluctuations économiques se reflète aussi dans les politiques conjoncturelles keynésiennes. En effet, les politiques conjoncturelles préconisées par Keynes vise à réguler l’activité économique à court terme en agissant sur la demande. Pour Keynes, dans une situation de dépression, l’État et les Banques Centrales doivent intervenir pour coordonner leur politiques. Ainsi, la politique monétaire doit être expansive avec une baisse du taux d’intérête directeur et une diminution des réserves obligatoire afin de relancer l’investissement. La politique budgétaire des gouvernements doit elle être une politique de relance par la demande dans laquelle l’investissement public est financé par un déficit budgétaire ce qui permet de relancer la demande globale. Ainsi, nous voyons bien que l'investissement joue un rôle particulier dans l’explication des fluctuations économiques.
Ainsi, nous avons vu que les variations de le demande globale avec la consommation, les exportations, la variation des stocks et les investissements est un facteur explicatif conséquent des fluctuations économiques. Une hausse de la demande globale entraine une période d’expansion économique et une diminution de la demande globale entraine un ralentissement économique provoquant parfois des récessions ou des dépréssions. Toutefois, il existe aussi d’autres facteurs qui peuvent aussi expliquer les fluctuations économiques.

Dans cette deuxième partie nous allons voir qu’il est peut être réducteur de limiter l'explication des fluctuations économiques aux variations de la demande. Il existe effectivement d’autres facteurs comme les variations de l’offre avec notamment l’innovation et le cycle du crédit qui peuvent eux aussi apporter une explications à la conjoncture économique.
Les variations de l’offre peuvent eux aussi être un facteur explicatif des fluctuations économiques. Certaines fluctuations économiques s’expliquent effectivement par l’écart entre la croissance potentielle, évaluée à partir du PIB maximume qui pourrait être utilisée grâce à la pleine utilisation des facteurs de production disponible, et le PIB réel. Lorsque la production réelle est supérieure à la production potentielle cela peut se traduire par des pressions inflationnistes sauf si il existait auparavant un déficit de production. Si la production réelle est inférieure à la production potentielle alors il y a des risques de déflations et traduit une insuffisance de la demande. De surcroît, nous pouvons observer la corrélation entre l’offre et la situation économique avec les chocs d’offres. Ces derniers sont une variation imprévue des conditions de production qui affecte les producteurs. Ainsi un exemple d’un choc d’offre qui aurait un impact négatif serait l'alourdissement de la fiscalité sur les entreprises. En effet, cela entrainerait une hausse des coûts de production. Les bénéfices des entreprises diminuent alors et ils ne peuvent investir davantage ou augmenter les salaires ou les dividendes. Afin de contrer cette perte, les entreprises peuvent augmenter leur prix mais cela entrainerait une baisse de la compétitivité et peut entrainer une baisse des ventes. Ainsi, nous voyons qu’il existe une corrélation entre les variations de l’offre et les fluctuations économiques. De surcroît, le progrès technique, l’ensemble des innovations qui permet une amélioration de la productivité est un exemple de choc d’offre positif. En effet, une meilleure productivité permet de produire la même quantité avec moins de facteurs de production ou produire plus avec le même nombre de facteurs. La production augmente et le coût unitaire de production diminue. Cela entraine une baisse des prix, une hausse des salaires et une hausse des profits. La hausse des salaires et la baisse des prix permet d’augmenter le pouvoir d’achat et donc augmenter la demande ce qui va entrainer une hausse de la production. Afin de répondre à la demande, l’entreprise doit alors embaucher plus de personnes ce qui entraine une hausse du pouvoir d’achat. Or, l’accroissement de la production permet la croissance économique. Ainsi, puisque le progrès technique est à l’origine de la productivité nous pouvons dire que celui-ci joue un rôle fondamental dans la croissance économique. L’innovation que ça soit une innovation de procédés, d’organisation ou de produit permet de stimuler la production. De plus les travaux de Solow, nous montre bien qu’une hausse de la production ne provient pas seulement d’une hausse des facteurs capitals ou travails utilisé mais provient aussi d’une amélioration globale des facteurs de production qu’il appelle “résidu” et qui est imputable au progrès technique. C’est donc le principe de la croissance intensive; ce n’est pas l’augmentation de la quantité de facteurs de productions utilisés qui importe mais l’efficacité de la combinaison productive. Ainsi, dans le document 3 nous observons que la contribution de la productivité globale des facteurs dans la croissance moyenne annuelle sur la période de 1994 à 2007 représesentait 0,8 point de pourcentage et contribue donc pour près de 36%. Il y a donc un lien entre la production et donc fluctuations économiques et l’innovation. Enfin, les travaux de Schumpeter nous montre aussi cette corrélation. En effet, pour l’économiste les cycles longs de Kondratieff, l’alternance de phases de croissance et de crise sur une quarantaine d’années, sont provoqués par les innovations. Les phases de croissance s’expliquent par l’apparition d’innovations techniques fondamentales qui engendrent une hausse de la productivité et des nouveaux produits. Une fois une innovation opérée dans un secteur, elle se diffuse et d’autres entrepreneurs l’imitent ou l’adaptent à d’autres secteurs. L’innovation de développe en grappe et possède un effet bénéfique sur l’économie. Cela entraine notamment une hausse des prix. Toutefois certaines entreprises ont du mal à la supporter, perdent de leur compétitivité et font faillite. C’est la destruction créatice. De surcroît, lorsque ces innovations ont épuisé leur potentiel de développement, une période de crise s’installe jusqu’à ce que de nouvelles innovations et le progrès technique viendra stimuler un nouveau cycle. On voit donc que l’innovation et donc les choc d’offre en général sont eux aussi des facteurs qui peuvent expliquer les fluctuations économiques.
Chez Schumpeter, le crédit joue un rôle important dans les cycles économiques, mais subornné au rythme des innovations. Nous allons voir que les cycles de crédit jouent tout de même un rôle important dans l’explication des fluctuations économiques. Nous trouvons tout d’abord le paradoxe de la tranquilité de Minsky. En période de croissance économique, on observe une expansion du crédit avec une facilité de crédit du fait de la baisse du taux d’intérêts. Dans une atmosphère d’optimisme économique, la prise de risque est excessive, les taux d’endettements sont elevés et nous observons une spéculation à la hausse sur le prix des biens et des actifs. Les banques prettent à des ménages peu solvables; le risque de défaut est élevé et les biens sont surévalués. Il y a une accumulation du capital. Cela mene à un surinvestissement et un surendettement. C’est l’éclatement des bulles. De nombreux ménages ne peuvent rembourser et les hypothèques ne suffisent pour couvrir les pertes des banques. Il y a alors un “credit crunch” une restriction du crédit et l’économie ralentit. Or, d’après Fischer il existe des mécanismes cumulatifs qui sont susceptibles d’engendrer la déflation et la crise. La récession entraine effectivement la baisse des revenus avec les faillites des entreprises et un taux de chômage en hausse. Elle engendre aussi une hausse des taux d’interêts car les ménages et les entreprises sont de moins en moins solvables. Les banques doivent couvrir leurs pertes en augmentant les taux d’interêts. En augmentant les taux d’intérêts, il y a moins de crédits qui sont accordés et donc moins d’investissement. Les agents économiques doivent aussi moins dépenser afin de rembourser leur dettes. Il y a ainsi une baisse de la demande ce qui engendre une baisse des prix. C’est la déflation. L’économie rentre alors dans une spirale déflationniste selon Fischer. La déflation entraine une hausse des taux d’intérêts réels et les crédits pèsent davantage sur les ménages; les risques de défauts sont augmentés. Effectivement, les charges de remboursement sont les mêmes alors que les revenus des agents diminuent à cause de la baisse des prix. Il y a alors un cercle vicieux de la dette. La baisse des prix accroit le poids des dettes et des taux d’intérêts ce qui augmente les défauts de paiement. Cela peut provoquer la faillite des banques et entraine une baisse de la demande. Les prix diminuent ce qui augmente le poids de la dette. Il y a ainsi une baisse des crédits demandés par les consommateurs et les entreprises. Cette baisse engendre une diminution de la demande. Cette dernière est aussi alimentée par la baisse des investissements et la hausse des licenciements du fait de la hausse des anticipations de baisses des recettes des entreprises. Les entrepreneurs peuvent moins investir. La baisse de la demande est aussi provoquée par les anticipations des ménages. Avec la baisse générale des prix, les ménages reportent leurs consommations à une date ultérieure. Ils anticipent ainsi la baisse des prix à venir. Cette baisse importante de la demande va engendrer une baisse de la production et donc du PIB. Le taux de croissance du PIB va donc diminuer ce qui entraine la dépression et une hausse du chômage. Or si il y a dépression et hausse du chômage, il y a donc une baisse des revenus des ménages mais également des entreprises qui produisent moins. Le pouvoir d’achat des ménages diminuent et les entreprises doivent baisser leur prix. La déflation engendre une dépression qui alimente alors la déflation. Il existe ainsi un effet cumulatifs des mécanismes de la crise. C’est la spirale déflationniste. Ainsi, nous observons dans le document 4 que lorsque la France est en période d’expansion soit de 2006 à 2008 la part des ménages ayant souscrit un crédit en France est plus élévé qu’en période de ralentissement économique ou même de récession soit la période de 2008 à 2013. Effectivement en 2006 la part des ménages ayant souscrit un crédit en France était de 50,9% et croît à 52,6% en 2008. À partir de 2008, cette part diminue pour atteindre 47,6 % soit une dimunition de près de 9,5%. On observe donc bien une corrélation entre le cycle du crédit et fluctuations économiques. D’autant plus qu’à partir de 2008, les banques réduisent les crédits, durcissent les conditions pour en obtenir du fait de la crise des subprimes qui a été provoqué par une prise de risque trop importante avec des ménages non solvables. Ainsi, nous observons que les fluctuations économiques peuvent aussi s’expliquer par le cycle du crédit qui semble les amplifier.
Nous avons du vu qu’il existe d’autres facteurs que la variation de la demande qui apporte une explication aux fluctuations économiques. L’offre et le cycle du crédit peuvent notamment expliquer les ces fluctuations.

Pour conclure, nous observons que les variations de la demande joue un rôle clef dans l'explication des fluctuations économiques. Une hausse de la demande globale entraine souvent une hausse de la production et engendre donc une période d’expansion. Une diminution de la demande globale entraine cependant une baisse de la production et provoque ainsi un ralentissement de l’économie qui peut même amener une récession et une dépression. Toutefois, il ne faut pas limiter l’explication de la conjoncture économique aux variations de la demande. Nous avons vu qu’il existe effectivement d’autres facteurs comme l’innovation qui peuvent aussi apporter une explication. Ainsi, il est important pour l’État d’analyser et comprendre ses facteurs afin de stimuler l’économie si celle-ci rentre dans une période de ralentissement économique, de récession ou de dépression. C’est pour celà que les Etats Unis ont par exemple adoptés une politique budgétaire expansionniste de type keynésienne, une politique de relance par la demande avec le New Deal dans les années 30.


Ajouter une réponse

Votre message :

:

Votre prénom:

Votre email:

:



A voir aussi :

Les dernières discussions:



Qui est Réponse Rapide?

Réponse rapide est un site internet communautaire. Son objectif premier est de permettre à ses membres et visiteurs de poser leurs questions et d’avoir des réponses en si peu de temps.

Quelques avantages de réponse rapide :

Vous n’avez pas besoins d’être inscrit pour poser ou répondre aux questions.
Les réponses et les questions des visiteurs sont vérifiées avant leurs publications.
Parmi nos membres, des experts sont là pour répondre à vos questions.
Vous posez vos questions et vous recevez des réponses en si peu de temps.

Note :

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation de cookies. En savoir plus