Posté par Bonouman jules Yao, mise à jour le 18/10/2025 à 10:05:07
Montrer que Frédéric II de Prusse de Prusse et un despote éclairé mais que les réformes on des limitesPosté par Guénolé
Frédéric II de Prusse, ce roi à la fois tyran et visionnaire, incarne le paradoxe du despote éclairé. Imaginez-le, là , sur son trône – une main ferme sur le royaume, l’autre tendue vers les idées brillantes des Lumières. Il s’active, modernisant l’État et l’armée, comme un chef d’orchestre orchestrant une symphonie de réformes. La justice, il la façonne, et l’économie, il la stimule – commerce et agriculture fleurissent sous son règne, comme des fleurs audacieuses dans un jardin bien entretenu. Les arts et les sciences? Oh, il les embrasse, les encourage, tout en cultivant une tolérance rare pour les différentes croyances, qu’il s’agisse des catholiques ou des juifs...Posté par Termita
En un siècle marqué par l’essor des idées rationalistes et critiques, Frédéric II de Prusse incarne une figure paradoxale : celle d’un monarque absolu qui se réclame des Lumières. Couronné en 1740, il ne se contente pas de régner — il conçoit son pouvoir comme une mission administrative, intellectuelle et morale. Son célèbre adage, « le roi est le premier serviteur de l’État », bouleverse les fondements de la monarchie traditionnelle. Il rejette ostensiblement la notion de droit divin, remplaçant la sacralité du trône par une vision utilitaire du pouvoir. Ce n’est plus Dieu qui légitime le roi, mais l’efficacité de ses actions au bénéfice de la nation.